Dans votre réponse à la question d'actualité de M. Devin le 20 novembre, vous indiquiez travailler sur cinq axes : la prévention, l’accompagnement des chauffeurs agressés, la sensibilisation, la dissuasion et la répression. Il s’agit d’une stratégie globale qu’on peut soutenir. Cela étant, pour qu’une stratégie de répression soit efficace, il faut des contrôles et des sanctions. Dans ce cadre, quelles sont les concertations menées avec les Ministres de l’Intérieur et de la Justice et le Collège des Procureurs généraux ? Par ailleurs, vous indiquiez le 20 novembre que les bus étaient équipés d’une pédale de détresse permettant de signaler discrètement tout incident. Depuis lors, plusieurs chauffeurs m’ont contacté pour m’indiquer que faute de personnel au dispatching, les appels restaient sans réponse. Qu’en est-il ? Quel est le calendrier des rencontres avec les représentants des travailleurs sur le sujet ?